Je dédie ce livre à mon épouse Odette sans qui rien n’eut été possible, car elle a eu une patience d’ange pour me supporter durant ces longues années de travaux ou voyages et à Stéphanie trop vite perdue qui a si bien aidé au relais dans la recherche.Toutes deux victimes d’un sort injuste qui les a enlevées trop tôt à mon affection et m’a privé de la leur. J’ai vainement cherché là les traces de l’amour divin. Dieu était aux “abonnés absents”*

(*) Ce n’est pas une prise de position anticipée dans un livre qui se veut ouvert à tout, mais un cri de colère du “moment”, qu’il n’eut pas été décent de cacher.