En particulier, si quelque Puissance avait regardé d’en haut la ville mythique de Babylone, elle aurait vu les fameux jardins mais aussi les temples. Cinquante trois ! Imagine-t-on bien l’emprise de la religion de ce temps, en cet endroit. Cinquante trois ! Et les descendants mêmes des habitants de l’époque n’en ont pas moins balayé cette religion là au profit d’une autre, nouvelle. Tout est relatif. Il va de soi que l’aviation a contribué largement à cette prospection générale et à l’émergence de découvertes bouleversantes. C’est relativement récent et évolutif. Ainsi les fameux dessins terrestres d’animaux à Nazca - qui sont en eux-seuls un indice formel de concepts innovants - n’ont pu être remarqués que grâce aux vues aériennes. Mais, depuis peu, les vues satellites ont donné une nouvelle proportion à cette forme d’analyse. Le Dr Jean-Hughes Crétin s’est livré à de méticuleuses recherches et a constaté que, hors toute intention manifeste de dessin, de nombreuses crêtes sont arasées. Un peu comme si “on” avait voulu en faire des pistes d’atterrissage... A quoi pouvait servir ces vastes terrains nivelés alors que les moyens techniques étaient d’une piètre efficacité ? Aussi peut-on s’attendre à de semblables effets dans les temps à venir, au fur et à mesure de la mise en place de nouveaux moyens. Il ne faut pas les fuir, mais les anticiper... Ainsi, en dehors de ces dessins à forme animalière, devenus classiques, ou des nouvelles stries droites, d’autres motifs apparaissent désormais à proximité. Ce sont des formes assez surprenantes parce que géométriquement élaborées. Notamment, on découvre un cercle inscrit dans un carré, c’est le fameux motif de Vitruve (1er siècle av. J.C) repris plus tard par Léonard de Vinci puis Michaël Maïer et plus récemment par ...Manpower ! Il est de plus en plus évident qu'un jour, nous découvrirons que l'architecte de ces balises ou des monuments égyptiens ou encore l'ingénieur en chef des OVNI, ne sont qu'une seule et même Force ou Intelligence. Mais n'allons pas trop vite; c'est tellement révolutionnaire qu'il faut déjà achever la présentation de ce monde caché au milieu duquel nous avons vécu sans le discerner. Après ces découvertes que l’on fait partager, on sent que les pièces s'assemblent, lumineuses. Cela rendra l'Homme meilleur, en harmonie avec le dessein qui a immanquablement présidé à sa création.

J’ai évoqué l’aviation. On peut aller un peu plus loin avec l’observation satellite qui nous donne des aspects jusque là inenvisageables pour aller jusqu’aux sondes spatiales qui nous font découvrir des planètes a priori hostiles mais dont on dira peut-être un jour que certaines servirent à la mise en place de la nôtre... Là, on peut s’arrêter sur la Lune où apparaissent des traces curieuses dont l’ébauche d’un visage monumental. La plus importante observation concerne Mars. Si aujourd’hui tout le monde admet très volontiers qu’il y a eu de l’eau sur la planète rouge, il n’en fut pas toujours ainsi. Lorsque je l’ai dit, avec mon partenaire des tout premiers livres, on peut imaginer l’accueil hilare de tout ce qui se prétendait scientifique et ne l’était d’ailleurs pas forcément ! Bien sûr, nous n’avions pas compétence établie en la matière, mais nous nous basions sur des présomptions assez étayées. Cela partait de détails observés sur le site de Cydonia visibles sur des films de la NASA, obtenus du “Service d'Imagerie Planétaire”, grâce à ma position militaire. On relevait notamment une version de ruines de constructions émanant d'intelligences formelles ainsi qu’un visage taillé sur lequel la NASA reviendra par la suite de manière éhontée et en “oubliant” de revenir aussi sur ces ruines dénoncées également par des scientifiques américains. En revanche, ceux-ci n’ayant pas connaissance de nos travaux sur l’Egypte ne pouvaient pas avoir remarqué l'omniprésence de la coudée égyptienne de 0,5236 dans l’implantation et la construction des pyramides présumées de Mars, ce qui est capital ! Dans le même esprit, on peut découvrir aujourd’hui, sur une photo-satellite, que les pentes du plateau de Guizeh laissent percevoir une hypothèse de visage féminin ou plutôt pharaonique. Clin d’oeil de la nature ? Peut-être. Jeu subtil comme l’ont fait les Américains taillant la tête de plusieurs présidents sur une falaise aux States, ou comme la sculpture de Mars ou encore celle de la Lune. Ne perdons pas de vue que l’érosion peut avoir gommé une partie de détails... Il faudrait imaginer ce que donneront les têtes américaines dans 5.000 ans. On pourrait douter, il faut donc s’attacher aux preuves éventuelles. C’est le tout récent ”Sciences & Avenir” d’Avril 2007 qui en fournit une involontairement en appelant précisément cet endroit CARRIERE sur un plan de la p. 50. Ainsi l’hypothèse d’un décrochement de falaise taillée n’est pas invraisemblable même pour les esprits les plus restrictifs. Alors taille gigantesque organisée et sculpture monumentale ne sont pas incompatibles.

Je constate que nous avons progressé de manière un peu décousue au fur et à mesure de nos interrogations immédiates entraînant des réponses aussi immédiates. Mais, après cette longue promenade faite au rythme de la pensée et des préoccupations, il ne me paraît pas inutile de poser un tableau assez sérieux sur la chronologie du “Vivant”. Chacun, sauf les paléontologues, le connaît superficiellement et je n’ai pas la prétention de vouloir poser quelque chose de trop compliqué. Je me borne à quelques règles néanmoins strictes.

Au début il y avait une Terre sans oxygène ni vie et c’est vers 3,6 milliards d’années que l’on dit avoir trouvé des traces de vie, certes élémentaires. C’est seulement il y a près de 2 milliards d’années qu’apparurent dans la mer des cellules animales. Celles-ci, il y a 750/550 millions d’années, s’organisèrent en mollusques type éponge et en algues. Vers 500/400, la mer se peuple de nautiloïdes et d’agnathes (premiers vertébrés) tandis que sur terre commencent à pousser les ancêtres des fougères. Cela facilite la venue d’insectes géants et, sous l’eau, se développent des poissons carnivores. Ancêtres des mammifères, des reptiles mammaliens et les dinosaures, en quasi totalité herbivores, règnent vers 350 millions d’années. La période qui suivit fut très animée et fortement carnivore jusqu’à ce que, vers 200/60 millions d’années, tout s’arrête. On discute beaucoup des causes, beaucoup moins des suites, mais c’est l’entrée dans le Secondaire ! On a relevé - et on en parle beaucoup en ce moment - d’un lien plus que possible dinosaure/oiseau. Des fossiles ont été trouvés, petits dinosaures incapables de voler mais porteurs de plumes ! Le plus intéressant était dans un calcaire vieux de 150 millions d’années. Plus près, à 1,3 millions, c’est une empreinte de pied humanoïde dans la cendre volcanique, au Mexique ! Et, il y a 160.000 ans seulement, en Afrique de l’Ouest, c’est l’homo sapiens qui montre son nez ! Tout cela semble banal, mais il fallait déjà concevoir que les sols (même les parois verticales) de notre environnement ne sont pas ceux d’origine. Les terres se sont soulevées, ont basculé. C’est ainsi que l’on trouve de plus en plus d’empreintes fossiles merveilleusement conservées parce que provenant par exemple de fonds de lacs anciens ! Cette capacité à déchiffrer provient d’une révision profonde de notre ouverture d’esprit.

Au passage, on doit revenir à l’instinct, cette démarche innée qui dicte le comportement de tous les animaux. Il nous semble tellement naturel et banalisé. Il s’agit pourtant d’une manifestation des effets de gènes Un programme de haute définition nous est bien injecté, à des degrés divers, à tous. C’est une notion à laquelle il faut s’accrocher. Ce qui va suivre n’a rien à voir avec le “divin” encore qu’approchant de la tête on puisse y trouver un lien avec la spiritualité et l’au-delà... Je veux faire allusion à la manière cavalière dont nous traitons ce que l’on voit. On s’en tient à une première impression sans jamais analyser vraiment. Je veux prendre un exemple caractéristique : le casque militaire. Les lecteurs du sexe masculin - pour peu qu’ils soient un peu âgés - en connaissent le poids. C’est lourd. Je me souviens particulièrement de l’armée allemande dont les soldats passaient leur vie casqués, en opérations ou en défilé. Il suffit de voir les photos d’époque pour s’en convaincre. Il n’y a que de rares cas de mouvements en campagne guerrière d’été où l’on voit l’homme tête nue, casque au côté. Que je sache, les spectateurs n’ont jamais porté leur réflexion à ce niveau. Pourtant, c’est tellement conséquent que les Américains avaient réglé le problème en emboîtant l’un dans l’autre deux casques, un léger et un lourd. Ainsi, le G.I. pouvait se présenter le cas échéant casqué mais sans contrainte de poids et disposant à portée de main de son autre casque (le lourd) qui servait à l’occasion de seau ou cuvette ! Revenant sur ce constat, j’ai voulu pousser mon analyse plus loin, et je découvre des faits quasi identiques chez les Romains. Là, je ne remarque rien pour le casque sinon qu’il comporte deux crochets permettant au légionnaire en déplacement de ne pas se coiffer de son couvre-chef mais de le porter autour du cou. C’est déjà un détail intéressant car on peut poser la question autour de soi, personne de n’en est inquiété. Je veux aller plus loin... et plus bas, au niveau des jambes. Qu’ont-elles ? Des jambières ou des bracelets de cuir. Là aussi, personne ne s’en soucie, supposant au mieux que ces accessoires protègent les membres des coups adverses. Eh bien non. A l’examen, le rôle primordial de ces accessoires est de préserver les jambes du fantassin du frottement de son long bouclier. Cette pièce est lourde et encombrante. Elle mesure généralement 1,25 m de haut et 60/65 cm de large, mais il en est aussi (le scutum) de 1m x 0,80, l’un et l’autre permettant d’adopter la célèbre formation dite “en tortue”. Elle est tellement pesante que - privilège classique - les officiers supérieurs ont un adjoint chargé de porter leur bouclier. Qu’ai-je voulu démontrer à travers ces anecdotes bien matérielles et ciblées ? J’hésitais d’ailleurs à les insérer pour ne pas être taxé de dispersion inutile. Eh bien, que nos éventuelles appréciations partent de perceptions erronées et faux constats. Il en va de même dans tous les domaines et nous devons rectifier nos approches et analyses pour déboucher sur des suites qui ne soient pas fausses elles aussi. C’est tout le sens de mon oeuvre.

Je viens d’évoquer les dinosaures porteurs de plumes et, dans un chapitre précédent, le fait que ces bêtes pondaient oeufs. Alors, dans un chapitre intitulé “voir de haut” comment ne pourrais-je pas en venir à l’oeil du dinosaure voyant de très haut ses petits oeufs ? Comment ne serais-je pas interpellé par la question classique: quel fut le premier ? L’oeuf ou la Poule ? Assurément bonne question. Mais j’avais tenté il y a longtemps de rectifier le processus. Je concevais que dans leur évolution les cellules initiales vivantes s’adaptaient et au lieu d’en rester à la division classique, ces cellules progressaient et prospéraient en suivant un processus évolutif. J’imaginais volontiers que, petit à petit, ces cellules en produisaient une autre, nouvelle, ce qui pourrait faire songer au mécanisme de l’oeuf, et ainsi de suite. Naturellement, pour faciliter l’évolution (qualitative) ce principe pourrait se doubler du jeu dit sexuel de départ afin d’éviter le phénomène statique de clonage. Donc, sexe, non pas pour le mécanisme de mise à terme de la nouvelle cellule, mais pour en perfectionner la conception. Dans mon innocence, je me satisfaisais de cette vue réglant d’un coup le piège de “l’oeuf ou la Poule” et... du coq. C’est peut-être - et même assurément - candide mais j’attends que nos manuels donnassent une version plus officielle et plus scientifique. Entre-temps, on travaille avec ce que l’on a plutôt que renvoyer aux calendes comme d’habitude ! Après une longue période de blocage dans la réflexion, on assiste à une relance marquée des guerres sur l’origine du Vivant. Un luxueux “Atlas de la Création” qui réfute le darwinisme et la théorie de l’évolution a été envoyé, en grand nombre, aux Universités dans les derniers jours de janvier 2007. Il a été écrit par un certain sujet Turc, Harun Yahya (Adrian Oktar). Je n’ajouterai pas d’autres commentaires laissant ce soin à d’autres. J’ai voulu simplement montrer l’acuité du sujet et du moment.