Il a été abondamment étudié par Gruais-Mouny dans GUIZEH - Au-delà des Grands Secrets (préfacé par Gérard Demarcq), repris par moi avec des données nouvelles dans LORSQUE CHEOPS SE MET A REFLECHIR ( LA CHIRALITE, DU GRAVITON AU NEUTRINO ). Il est hors de question de m’arrêter trop longuement là-dessus, mais comment aurions-nous pu ne pas l’évoquer lorsque les chiffres se mettent à passer au deuxième degré et à encombrer l’actualité. Pour autant, nous ne savons pas comment l’inscrire dans notre étude évoluée des grilles et carrés magiques. Je le mets sur la table afin de pouvoir nous en saisir - ou un lecteur plus diligent - au premier signe parlant. D’autres pourraient poser en attente le fait de Jésus marchant sur les eaux... Lévitation partielle ? Il n’en reste pas moins que nous devons mettre en garde sur la taille supposée de l’enjeu et de ce qui en découle. Le hiéroglyphe DY peut vraisemblablement vouloir représenter un objet (ou un principe) contribuant à créer un champ magnétique susceptible de casser la prolifération des cellules malignes. Cela s'accommode d'une découverte faite par un chercheur d'Alger (Boutard) qui l'a protégée par brevet en 1924. Elle peut faire penser aux travaux de Priore et dont un député, Pierre Favre, avait tenté en vain la relance auprès du Parlement. C'est un avis qu’avait partagé - après la lecture de “GUIZEH - Au-delà...” - le professeur allemand Neppert (qui a soigné le cancer du colon de Reagan) et récemment décédé. Le DY ira même encore plus loin en flirtant avec la “lévitation” et l’hypothèse de pierres des pyramides moulées et non taillées. C’est d’une clarté lumineuse. La toujours attentive collègue-écrivain Catherine Nalté attire d’ailleurs mon attention sur le “château de corail” en Floride, dont tout laisse penser qu’il y a bien eu emploi de moyens de levage du type “lévitation”. Mais c’est une autre affaire. N’encombrons pas la nôtre. Contentons-nous d’avoir sérieusement remonté le niveau des indices de toute sorte donnant une autre collecte possible pour la famille des grilles et carrés magiques.

Restaurant l’importance du chiffre, nous voulons modifier l’appréhension des données. Pour y aider, nous nous bornons à un simple rappel imagé. Qu’est le fameux E = Mc² , cette formule savante ? En simplifiant, c’est en quelque sorte l’aussi fameuse définition de Lavoisier : Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. Il y a quelque chose de fondamental dans l’approche des appréciations, c’est l’incapacité à relativiser. Chacun est ancré dans son présent, trouvant l’existant normal et incapable de le projeter ou de revenir sur son acquisition. C’est pour cela qu’au lieu de chercher d’abord et imposer ensuite aux lecteurs notre résultat dans un style magistral, nous avons humblement préféré les associer à notre recherche, revenant ainsi parfois sur des solutions apparemment terminales, mais - on le voit - incomplètes. Peut-être l’un d’eux nous a-t-il dépassé et c’est lui qui conduira le troisième livre... Certes, chacun sait bien qu’après la crainte des Gaulois de voir le ciel leur tomber sur le tête, l’homme est allé sur la Lune et ira sans doute encore beaucoup plus loin un jour. Mais, c’est vague. Il n’y a pas d’imprégnation réelle. Pas de perception réelle. C’est une vue fugitive, furtive. Qui réalise bien que l’ovule et le spermatozoïde réunis font moins que la surface d’une pointe d’épingle et que ce nouvel élément, enrichi, va porter le plus naturellement du monde le programme qui fabriquera notre corps et ses milliards de cellules ? Qui réalise que cet infime ensemble portera nos gènes et ainsi le transfert d’un passé que nous négligeons ? Nous nous croyons maîtres de nous et pourtant nous ne sommes que les usufruitiers d’un corps voulu hors nous. Cette prise de conscience de la dimension du “petit”, du très petit, se fait seulement maintenant. Je vois avec plaisir fleurir le terme “nano” et constater qu’il s’applique de plus en plus à des définitions bien figées jusque là. Et si cet infiniment Petit (en apparence) était en fait si vaste que nous y tiendrions tous ? Image difficile à intégrer, mais c’est bien avec des concepts de cette nature qu’on peut avoir une chance de sortir de nos schémas obsolètes. C’est un peu comme pour les trous noirs dont chacun sait qu’ils peuvent tout avaler et sont d’une masse considérable. Bernard Brunessaux soulignait, en évoquant cette notion de l’Infime, que l’image est pourtant présente en permanence mais non exploitée avec, par exemple, la vue d’un avion volant haut dans le ciel. C’est un tout petit point, souvent discernable par la seule condensation que provoquent ses réacteurs, mais contenant plusieurs centaines de personnes dedans, personnes qui vivent, mangent, dorment. Ce constat peut amener à une toute autre appréciation de l’infiniment petit sans même aller jusqu’au microscope.

La notion de Dieu, même avec un recul respectueux, ne peut répondre aux problèmes techniques apparents et pour ceux qui tiennent à ce concept il leur est facile de réaliser que Dieu n’aurait fait que mettre en route ce qu’il a voulu. Que l’embryon soit ou non le fruit de ses oeuvres, il reste merveilleux de voir que cette cellule embryonnaire porte bien plus de choses que sa matérialité ne le laisserait supposer. Quelle charge incroyable, par rapport au volume, peut contenir cette cellule ! Il y a obligatoirement un vaste programme, abstrait, formel, généralement sûr et éprouvé, qu’on ne voit pas avec nos techniques actuelles et nos modestes connaissances. Pourtant, c’est là. C’est encore mieux que cette petite carte glissée dans le téléphone portable et qui porte tant d’informations, mais pas la vie. Qui y pense réellement ? Qui s’interroge ? De l’auteur au lecteur, qui réfléchit sur cet aspect des choses, lequel ne peut se contenter des termes de mystères ? Il faut déjà intégrer ce constat, tout en sachant que l’on a peu de chances de le déchiffrer aujourd’hui, mais le devoir de s’en imprégner pour s’approcher un jour de sa résolution.

La petite (et bien jeune) épouse du savant Lavoisier a sérieusement contribué aux travaux. Discipline dans laquelle a excellé une autre femme, Madame du Chatelet, la maîtresse de Voltaire. Des femmes ? Et à cette époque ? Un peu inattendu quand même. Tout autant que la célèbre photographie de Einstein tirant la langue, reprise sur des feuillets émis par les très sérieuses postes françaises ! L’incontournable Albert n’avait pas été enthousiasmé par la transportation, c’est dommage, car la remarque de M. B. d'Espagnat, directeur du laboratoire de physique théorique de Paris XI Orsay a fait son chemin, un sacré chemin. Il avait dit que "...deux particules restent mystérieusement en relation, alors que jumelles et identiques quant à leur polarité, après avoir été séparées, on modifie la polarité de l'une d'elles. Celle de l'autre est modifiée instantanément. Malgré l’ironie de journalistes, disant que l’on n’est pas près de transférer les milliards de particules d’un être humain, ce phénomène de transfert s’est affirmé avec des succès qui laissent entrevoir une suite extraordinaire. Oui, c’est le transfert instantané d’une particule ou d’un ensemble de particules disparaissant d’un endroit pour réapparaître dans un autre en un même temps ! Tous nos raisonnements anciens sont à revoir. J’en suis content car, bien que novice dans ces disciplines, j’en avais pressenti la réalité et la projection correspondante. Jusqu’à un certain moment, il y a eu un progrès conséquent dans la mesure où l’on a fini par admettre qu’il puisse y avoir téléportation entre des photons ou des atomes, entre eux, pas de l’un à l’autre. Or, selon des travaux du “Niels Bohr Institute”, depuis, elle serait maintenant possible de l’un à l’autre. On voit l’évolution.

Faut-il raccrocher à ce volet la fameuse interdiction de Jésus, ressuscité, à Marie-Madeleine arrivant, surprise, devant lui. Le Christ lui aurait dit : Noli me tangere (ne me touche pas) encore que probablement ce fut dit d’ailleurs plutôt en araméen qu’en latin. Jean, dans son Evangile (XXII-17), évoque une vague réserve due à la nécessité qu’aurait eue Jésus de comparaître préalablement devant son père. Ah bon ? Au minimum, ce n’est pas très clair. Ne pourrait-il pas s’agir plutôt d’une image virtuelle ? En ce cas la main de Madeleine traversant une sorte d’ectoplasme pouvait déclencher prématurément bien des problèmes ... Nous serions dans une notion d’ondes qui paraît de plus en plus être le conteneur des premières réponses; et encore n’oserai-je pas évoquer des effets de radiation (pourquoi pas nucléaires) qui, de toute façon, seraient encore des jeux d’ondes. Que dire aussi de personnages vus, au même moment, en des endroits différents, ce que l’on appelle la “bilocation” ou OOBE (out of body experience). Au-delà du symbolique, il y a de l’anticipation cohérente là-dedans et je l’avais toujours largement commentée.

Avec une prudence de sioux j’évoquerai le N.C.R.I qui trouble des milieux scientifiques. Notoirement incompétent pour aller plus loin, je note quand même que la “Non Classical Rotational Inertia” s’intéresse aux mouvements d’inertie rotationnelle et au débouché d’interprétation de traversée de solides par des solides. La tasse traversant sa soucoupe ! Le raisonnement fait intervenir des notions de cristal d’hélium. La France a un grand chercheur en la matière, le physicien Sébastien Balibar. Mais je ne puis m’empêcher de songer encore aux mystères cachés dans la Grande Pyramide de Guizeh...

Je ne tomberai pas dans le piège du faux savant, mais j’invite les lecteurs à plonger dans ce que l’on dit des Conversions en Photons, ou des objets de masse imaginaire. J’ai noté un mot qui me plaît mais je ne sais même plus ce qu’il veut dire : Tachyons. Je retiens que la vitesse de la lumière pourrait ne pas être un butoir. Quant aux récents et fameux “trous noirs”, ceux-ci auraient une entrée et une sortie ! On voit l’envolée de nos anciennes convictions !

Je ne peux quitter Jean sans dire un mot de son Apocalypse. On y voit généralement les pires drames. Or, Roger Corréard part des racines du mot qu’il découpe en APO (lever) et KALUPSA (le voile) ce qui le conduit aux mots apaisants de “lever de voile sur notre ignorance”. Ce qui est plus prometteur ... En tout cas, cela entre dans ma démarche.